12 mars 20 – De Ermitage Santa Cecilia au Coll de Coubet – 34 km (10505 km) – J344

La nuit a été des plus calmes. Nous nous levons avec le soleil, il fait bon. Nous prenons le petit-déjeuner, plions tout (la tente n’est presque pas mouillée) et sommes prêts à partir à un peu plus de 10h00. Juste un peu plus de deux heures, parfait !

Nous disons au revoir à Santa Cecilia et reprenons la voie verte. Comme la veille, ça monte. Nous passons sur et sous des ponts.

Nous terminons l’ascension du premier col en rejoignant une route. Elle est tranquille, il n’y a aucun véhicule. S’en suit une belle descente !

En bas, de nouveau, nous récupérons l’ancienne voie de chemin de fer.

Nous sommes ensuite dans les champs. C’est vraiment agréable.

Quelques courses pour le repas de ce midi au premier village que nous traversons. Nous suivons ensuite la route principale, très passante, par le chemin parallèle. Au loin, nous voyons la neige sur les Pyrénées.

Au bord du chemin, voilà la zone volcanique de la Garrotxa. Il y a un sentier aménagé à travers les roches. Nous faisons un petit tour et dénichons la cache.

Pour la suite, nous continuons d’avancer entre les rochers. Dans les zones d’ombre, il ne fait pas chaud !

A Olot, nous déjeunons dans un petit parc, avec des jeux bien sûr. Nous allons ensuite au CAP, c’est un centre de santé, on en trouve dans toutes les villes. Il nous faut enlever les 4 points du menton de Lucas. Il s’en sort comme un chef ! Par contre, il n’a été pris qu’à 15h00, cela ne nous a pas mis en avance pour la suite…

Deux cols nous attendent pour 660 mètres de dénivelé. Nous nous lançons dans la montée mais vu l’heure, pas sûr que nous réussissions à aller jusqu’en haut. Nous trouverons bien un endroit où planter la tente… C’est assez raide, il fait chaud, en gros, c’est dur ! Nous montons, nous montons… Il n’y a strictement rien pour s’arrêter. Nous allons déjà essayer d’atteindre le premier col…

Enfin, le Coll de Coubet ! Bon, pour le moment, ce n’est pas gagné pour dormir ici… Nous continuons jusqu’à la bifurcation. Chose improbable, il y a une boulangerie ! Nous demandons s’il y aurait un endroit où planter la tente. On nous indique un pré au-dessus de la route, c’est celui du boulanger. Nous allons voir, finalement, nous posons la tente directement dans le chemin qui permet de l’atteindre. C’est dans le virage, nous ne gênerons personne.

Pour le dîner, nous allons même acheter du pain. Un bon gros pain, il est délicieux ! Ce soir, c’est graines de couscous, sauce tomate et parmesan. Ça change des pâtes. Il ne fait pas très froid malgré l’altitude. Nous devrions être bien.

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